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Les idées reçues
05 avr. 2023
Assurance vie, succession, impôts, clause bénéficiaire… vous vous posez de nombreuses questions et avez du mal à y voir clair ?
« Démêlez le vrai du faux » des idées reçues sur la succession et l'assurance vie.
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« Si je suis héritier, je suis forcément bénéficiaire. »
Faux
Les bénéficiaires ne font pas forcément partie de la famille du défunt.
De son vivant, l’assuré(e) peut désigner la personne physique ou morale de son choix en tant que bénéficiaire de son contrat d’assurance vie (ami, association…).
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« Les démarches sont toujours fastidieuses. »
Faux
Si vous êtes conjoint(e) ou pacsé(e), vous n’avez aucune démarche fiscale à effectuer pour l'assurance vie.
Dans les autres cas, vous êtes guidé(e) sur votre espace bénéficiaire pour réaliser vos démarches facilement.
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« L’assurance vie ne fait pas partie de la succession. »
Vrai
L’assurance vie a un fonctionnement indépendant de la succession.
Les montants transmis ne sont pas comptabilisés dans la succession que se partage les héritiers.
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« Je peux demander à consulter la clause bénéficiaire de mon proche décédé. »
Faux
Aucune information relative à la clause bénéficiaire ne peut être divulguée par BNP Paribas Cardif.
Il s’agit d’informations confidentielles. Seuls les bénéficiaires, une fois identifiés, seront informés par courrier des documents à fournir pour percevoir les capitaux décès.
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« Je suis obligé(e) de faire appel à un notaire. »
Faux
Sauf exceptions, les démarches assurance vie peuvent être réalisées directement auprès de la banque ou de l’assureur, sans passer par un notaire.
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« Si je suis bénéficiaire, je vais forcément payer des impôts. »
Faux
Le capital assurance vie revenant aux bénéficiaires est versé à 100% (hors prélèvements sociaux) dans de nombreuses situations.
Si vous avez des droits à payer, BNP Paribas Cardif peut les régler pour vous ! Ils seront déduits du capital versé.
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« Si je renonce au capital qui me revient, la banque gardera l’argent. »
Faux
En cas de renonciation du bénéficiaire assurance vie, le capital lui revenant sera attribué au bénéficiaire de rang suivant mentionné dans la clause bénéficiaire.
